L'automobile

Des prothèses bioniques pour le bien-être des personnes handicapées

Grâce à une prothèse bionique dotée de capteurs associés à des nerfs persistants dans la cuisse, de nombreux handicapés dans le monde ressentent leur prothèse de pied et de genou en permanence au-dessus du genou. Les personnes dotées de jambes impeccables ressentent le mouvement de leur genou ou le contact de leur pied avec le sol. Le dispositif sensoriel s’appuie en permanence sur ce genre de critique tactile pour commander avec précision les muscles.

Les gens utilisant une jambe artificielle ne connaissent toutefois pas clairement où se trouve la prothèse, comment les choses bougent ou de quel type de territoire elle se trouve. Souvent, ils ne pouvaient pas se confier totalement sur leur prothèse lorsqu’ils se promènent, ce qui les conduit à dépendre sans cesse de leur jambe entière, ce qui réduit leur portabilité et les rend rapidement fatigués.

Transformer les signes contrefaits en signes normaux

Pour donner au système sensoriel des données tangibles, les chercheurs en technologies handicaps ont commencé par la prothèse de pointe financièrement accessible : ils ont connecté des capteurs matériels à la face inférieure de la prothèse de pied et ont collecté les informations sur le développement du genou assuré par le dispositif électronique d’articulation de prothèse bionique.

L’objectif de la procédure médicale était de présenter des cathodes parfaitement situées à travers le nerf pour autoriser la reconstruction de critiques tangibles similaires, et pour permettre la solidité des anodes. Les anodes ont été créées par des chercheurs, et une prothèse bionique provient de l’organisation de prothèses.

Le groupe d’exploration a créé des calculs pour déchiffrer les données des capteurs de matériaux et de mouvements en motivations de courant, le langage du dispositif sensoriel qui a été transmis vers le nerf résiduel.

Puis, à ce moment-là, la nature se ressaisit : les signes des nerfs restants sont émis vers le cerveau de l’individu, qui est alors prêt à détecter la prothèse et permet au client de modifier sa démarche si nécessaire. La machine et le corps sont enfin associés. Pour cela, une personne handicapée possédant une prothèse bionique n’as plus besoins d’accessoires voitures handicapées, car il est apte à conduire une voiture sans aide.

Réduction du tourment de l’appendice imaginaire

Dans le contexte de l’examen, les personnes handicapées ont été soumises à une phase de tests en remplaçant les préliminaires avec ou sans neurofeedback.

Les résultats ont indiqué clairement que la critique avec la prothèse bionique était favorable: la marche avec le neurofeedback était vraiment beaucoup moins exigeante, comme l’indique l’énorme diminution de l’utilisation de l’oxygène par les personnes handicapées pendant la marche des personnes handicapées.

De plus, sur le plan intellectuel, la marche avec le neurofeedback était moins pénible, comme l’ont montré les spécialistes en estimant les mouvements du cerveau pendant les préliminaires.

Les volontaires n’avaient pas besoin de se focaliser sur leur procédure, ce qui signifiait qu’ils avaient la possibilité de consacrer une plus grande partie de leur attention à différentes activités.

Lors d’un test difficile, les handicapés ont dû travailler sur le sable, et là encore, la critique leur permettait de marcher plus vite. Dans leurs commentaires, les handicapés ont indiqué que le neurofeedback avait énormément augmenté leur fiabilité vis-à-vis de la prothèse bionique.

Avec la technologie pour personne handicapée, le point de connexion avec le dispositif sensoriel peut aussi être utilisé pour relancer les nerfs librement à partir d’une prothèse bionique. Avant de commencer les travaux préliminaires, les deux handicapés se plaignaient de souffrir de l’appendice de l’apparition.

Pendant un programme de traitement d’un mois par neurostimulation, les chercheurs ont trouvé comment atténuer de manière impressionnante cette aggravation chez l’une des personnes handicapées ; chez l’autre, l’aggravation a totalement disparu.

Conclusion

Les chercheurs considèrent ces derniers résultats avec espoir. Néanmoins, ils insistent sur la nécessité d’un examen plus approfondi, avec des diagnostics à la maison et un nombre plus important de personnes handicapées, en vue de fournir informations plus solides qui leur permettront de prendre des décisions plus critiques.

Pour l’examen clinique limité dans le temps, les signaux de la prothèse bionique ont été envoyés par des liaisons à travers la peau jusqu’aux terminaux de la cuisse.

Cela impliquait que les personnes handicapées devaient passer par des évaluations cliniques normales. Pour supprimer cette nécessité, les chercheurs prévoient de mettre au point une structure entièrement implantable.

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